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Création de la Maison des Savoirs

jumelée avec les “Maisons de la Loi des Femmes Aborigènes” d’Australie

Protégez les terres sacrées aborigènes !

 

Bonjour chère communauté, partenaires et amis,
 

J’aimerai vous présenter mon projet de création d’une Maison des Savoirs en Provence,  jumelée avec” Les Maisons de la Loi des femmes aborigènes” situées dans différentes communautés d'Australie. Vous connaissez déjà  mon parcours et savez que je suis totalement  “IN LOVE”  des cultures aborigènes. Je lance cette démarche, n’hésitez pas à relayer autour de vous pour créer une belle communauté. Le projet est disponible en anglais.

 

🌸🌸🌸 Objectif  🌸🌸🌸

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Pourquoi créer une Maison des Savoirs jumelée avec l’Australie  ? En bref

  • Préserver les terres sacrées

  • Retrouver et valoriser les savoirs anciens

  • Protéger, soutenir les cultures autochtones

  • Mettre en lien nos héritages culturels entre la France et l’Australie

  • Développer les connaissances liés à la Nature, aux cycles, aux lois universelles

  • Développer des projets en commun

  • Apprendre et transmettre
     

Comment :

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  • Des projets en commun pour valoriser le travail spirituel français et Aborigène

  • Des cercles d’échanges mensuels

  • Des stages / ateliers de partage et de transmission des savoirs autochtones

  • Des voyages d’échanges inter-culturels entre français et aborigènes

  • Une plateforme d’accès illimité à des films, vidéos sur la culture et rites sacrés aborigènes.

  • Des évènements de rencontres inter-culturels ( projections, conférences, vernissage, rencontres auteurs….)

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Origines du projet :
 

Depuis plus de 10 ans, je parcours l'Australie aborigène en quête de savoirs ancestraux, de nature et de spiritualité. De toutes ces rencontres, j’ai réalisé 3 films qui m'ont totalement transformée : Les Derniers traqueurs australiens, La Révolte des rêves, D'Ocre et de sang. Je suis aujourd’hui intégrée à plusieurs groupes de femmes, les Kukatju Pintupi dans le désert de Tanami et les Warlmampa/Warrumungu du Territoire du Nord. Mon nom de peau est « Nangala », ce qui me donne une position familiale clanique et la reconnaissance du respect des protocoles aborigènes. Les femmes et les hommes aborigènes avec qui je travaille me disent souvent qu’Ils/elles rêvent de partir danser sur leurs sites sacrés. « Danser et chanter » est un devoir spirituel pour ces gardiens de la terre. Ils/Elles sont responsables de protéger la mémoire de leurs clans, transmis oralement depuis des milliers d’années, pour honorer la création du monde. Mais les cérémonies sont de plus en plus difficiles à mener car la vie dans les réserves autochtones est une survie quotidienne. Le concept aborigène des "Maisons de la Loi des Femmes" est né dans les années 80 en Australie dans l'objectif de retrouver ou faire renaître les savoirs éteints au cours de la colonisation en ravivant la mémoire des sites sacrés. Aujourd’hui les cultures traditionnelles d'Australie sont menacées par le manque de moyens. J’ai eu l’idée de créer une “Maison des Savoirs” en France en lien avec les "Maisons de la Loi des femmes" aborigènes, au cours de l’écriture d’un film d'échange inter-culturel. Je me suis dit que cet échange ne devait pas exister uniquement au bénéfice d’un film mais devait s’inscrire dans la durée. Avec la « Maison des savoirs » en France, je souhaiterais devenir un partenaire stable pour différentes communautés Aborigènes. Je souhaite soutenir leur logistique pour qu’ils/elles puissent organiser, au minimum une cérémonie annuelle, afin de raviver les sites sacrés les plus importants. Ces voyages demandent une régie importante car les sites cérémoniels sont éparpillés jusqu’à plus de 500 kms autour de leur communauté. Pérenniser les voyages spirituels des anciens sur les sites sacrés veut dire aussi resserrer les liens entre les anciens et jeunes générations qui décrochent des traditions au profit d'addictions diverses. C'est aussi renforcer la transmission des savoirs de la nature et favoriser la création d'emplois sur les terres natives. C'est aussi permettre aux familles de rester sur leurs terres, renforcer leur pouvoir culturel et être plus stable pour lutter contre l'industrie minière qui connaît un essor sans précédent en Australie. Enfin donner les moyen financier aux aborigènes qui s'organisent pour défendre leurs titres natifs de la terre face à la justice australienne. 

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La Maison des Savoirs  en France permettra :

- De permettre aux anciens du désert de perpétuer leurs traditions et la transmission à la jeunesse

- De financer les actions en justice pour protéger les terres aborigènes

- De créer des échanges en France, en ligne et en présentiel, avec la Maison des Savoirs

D’enregistrer les  savoirs en perdition et de les préserver pour les générations futures.

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Où sera située la Maison des Savoirs ?

Dans mon village, Eygalières aux pieds des Alpilles provençales. Un lieu de création et de ressourcement très prisé par les voyageurs du monde entier pour son caractère naturel, sa beauté sauvage. Des Mas provençaux en plein parc naturel accueilleront celles et ceux qui participeront aux stages et évènements initiés par la Maison des Savoirs.

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Quels types d’activités proposera la Maison des Savoirs ?

  • Des stages / ateliers de partage et de transmission des savoirs français et autochtones : chants, danses, tissages, cuisine, plantes sauvages, peintures, cercles de femmes, bien-être, spiritualité, techniques de soin…

  • Des cercles d’échanges  sur une chaîne dédiée : entrevues avec des invités français et aborigènes qui travaillent sur la préservation et la diffusion des savoirs de la nature

  • Des voyages d’échanges inter-culturels entre français et aborigènes

  • Une plateforme d’accès illimité à des films, vidéos sur la culture et rites sacrés aborigènes.

  • Des évènements de rencontres inter-culturels : projections-débats inter-culturels, conférences

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Si vous êtes prêt(es) à vous engager pour que la Maison des Savoirs existe, participez à la campagne 

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Si vous ne pouvez pas participer financièrement, peut-être connaissez-vous des personnes qui soutiennent des projets de ce type sur la durée ? Dans ce cas, je vous remercie d’avance de leur transmettre l’information. Le projet est en anglais, il peut aussi voyager au-delà des frontières ! Merci pour votre engagement auprès de la sagesse des peuples autochtones, de la Nature, de la vie.

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Et un énorme merci d’avance pour votre engagement !

 

Vanessa Escalante

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Protect Aboriginal sacred lands !

 

Hello dear community, partners and friends, I would like to present to you my project to create a House of Knowledge in Provence, twinned with “Aboriginal Women’s Houses of Law” located in different communities in Australia. You already know my background and know that I am totally “IN LOVE” of Aboriginal cultures. I'm launching this process, don't hesitate to spread the word around you to create a beautiful community.

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🌸🌸🌸 Objective 🌸🌸🌸 ​

 

Why create a House of Knowledge twinned with Australia? In short

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  • Preserving sacred lands Finding and promoting ancient knowledge Protect,

  • support indigenous cultures

  • Connecting our cultural heritages between France and Australia

  • Develop knowledge related to Nature, cycles, universal laws

  • Develop joint projects Learn and pass on

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How :

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  • Joint projects to promote French and Aboriginal

  • spiritual work Monthly

  • discussion circles

  • Internships/workshops for sharing indigenous knowledge

  • Inter-cultural exchange trips between French and Aborigines

  • A platform for unlimited access to films, videos on Aboriginal culture and sacred rites. Inter-cultural meeting events (screenings, conferences, openings, author meetings, etc.) ​

 

Origins of the project:

 

For more than 10 years, I have been traveling through Aboriginal Australia in search of ancestral knowledge, nature and spirituality. From all these encounters, I made 3 films that completely transformed me: The Last Australian Trackers, The Revolt of Dreams, Ocher and Blood. Today I am integrated into several groups of women, the Kukatju Pintupi in the Tanami desert and the Warlmampa/Warrumungu of the Northern Territory. My skin name is “Nangala”, which gives me a clan family position and recognition of respect for Aboriginal protocols. The Aboriginal women and men I work with often tell me that they dream of going to dance on their sacred sites. “Dancing and singing” is a spiritual duty for these guardians of the earth. They are responsible for protecting the memory of their clans, passed down orally for thousands of years, to honor the creation of the world. But the ceremonies are increasingly difficult to carry out because life on indigenous reserves is one of daily survival. The Aboriginal concept of "Women's Law Houses" was born in the 1980s in Australia with the aim of rediscovering or reviving knowledge extinguished during colonization by reviving the memory of sacred sites. Today Australia's traditional cultures are threatened by a lack of resources. I had the idea of creating a “Maison des Savoirs” in France in connection with the aboriginal “Maisons de la Loi des femmes”, during the writing of an inter-cultural exchange film. I told myself that this exchange should not exist solely for the benefit of a film but should take place over time. With the “Maison des savoirs” in France, I would like to become a stable partner for different Aboriginal communities. I would like to support their logistics so that they can organize, at least one annual ceremony, in order to revive the most important sacred sites. These trips require significant management because the ceremonial sites are scattered up to more than 500 km around their community. Sustaining the spiritual journeys of elders to sacred sites also means strengthening ties between older and younger generations who abandon traditions in favor of various addictions. It also means strengthening the transmission of natural knowledge and promoting job creation on native lands. It also allows families to stay on their land, strengthens their cultural power and is more stable to fight against the mining industry which is experiencing unprecedented growth in Australia. Finally provide the financial means to the aborigines who are organizing to defend their native titles to the land in the face of Australian justice. ​

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Where will the House of Knowledge be located?

In my village, Eygalières at the foot of the Provencal Alpilles. A place of creation and rejuvenation highly prized by travelers from all over the world for its natural character and wild beauty. Provençal farmhouses in the middle of a natural park will welcome those who will participate in courses and events initiated by the Maison des Savoirs.

 

The Maison des Savoirs in France will allow:

  • the elders of the desert to perpetuate their traditions and pass them on to young people

  • To finance legal actions to protect Aboriginal lands

  • To create exchanges in France, online and in person, with the Maison des Savoirs

  • To record lost knowledge and preserve it for future generations. ​

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What types of activities will the Maison des Savoirs offer?

  • Courses / workshops for sharing and transmitting French and indigenous knowledge: songs, dances, weaving, cooking, wild plants, paintings, women's circles, well-being, spirituality, care techniques, etc.

  • Discussion circles on a dedicated channel: interviews with French and Aboriginal guests who work on the preservation and dissemination of natural knowledge Inter-cultural exchange trips between French and Aborigines A platform for unlimited access to films, videos on Aboriginal culture and sacred rites.

  • Inter-cultural meeting events: inter-cultural screenings-debates, conferences ​

 

If you are ready to commit to making the House of Knowledge exist, participate at the campaign

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